Qu’est-ce que le lien entre une groupe de satanistes qui tentent, lors de la saison d’avent, à l’année 2021, juste avant noël, de profaner un lieu public à Springfield, Illinois aux États-Unis, où il y a une tradition d’honorer la nativité de notre Seigneur Jésus-Christ, et la chute de l’Union Soviétique, laquelle s’est passée précisément trente ans auparavant, le 25 décembre 1991 ?
Apparemment il n’aurait pas beaucoup en commun entre ces deux évènements. Pour l’observateur moyen l’un d’eux correspondrait premièrement au domaine des guerres culturelles contemporaines, spécialement celles qui sont menées autour des droits religieux et des mœurs, au sein des sociétés ouvertes du XXIème siècle ; tandis que l’autre fait partie de l’histoire géopolitique du XXème siècle ; et, en conséquence, il n’y aurait pas de motif pour les mélanger. Cependant, quand on recherche à profondeur qu’est-ce que le marxisme (communisme/socialisme), c’est plus que possible, si l’on recherche en dehors des ouvres des apologistes marxistes, qu’on se retrouve devant la présence du satanisme dans la poétique de l’ouvre de Marx aussi que dans l’homme, et dans ses spéculations historiques et socioéconomiques erronées, appuyées sur l’héritage pernicieux d’Hegel, à l’influence dévastatrice dans l’histoire des dernières deux siècles.
En fait, comment tous ceux qui ont un esprit au moins normalement intelligent le savent, l’économie prend ses racines et se développe depuis la politique, celle-ci depuis la culture, et la culture depuis la religion. Les satanistes à l’Illinois cherchant à célébrer son rite ouvertement à la lumière du jour ne sont pas que l’évidence de la forme dans laquelle le marxisme a envahi, aidé par les principes maçonniques de tolérance et égalité, notre culture.
C’est pourquoi nous avions tort quand nous croyions, après la chute du mur de Berlin à la fin de 1989, et lorsque nous regardions les journaux que nous disaient, après le discours de Gorbatchev a la télévision du 25 décembre 1991, que l’Union Soviétique venait de s’écrouler, et avec elle le communisme dans le monde (à la exception de la Chine, la Corée, Cuba, les universités, les écoles, etc.), que les États Unis, et avec eux, le monde dit libre, venaient de remporter la victoire définitive dans la confrontation planétaire entre la liberté capitaliste et l’esclavagisme communiste.
Aujourd’hui, trente ans après cette présumé chute du communisme ceux qui sont nés après la fin de la guerre froide à l’Occident sont en grand partie des supporteurs du socialisme et du communisme, beaucoup parmi eux sans le savoir, et hélas ! beaucoup parmi eux sciemment. Le monde apparemment a oubli les maux du marxisme dans toutes ces itérations. L’école, las universités, la pop culture, ont une importante partie de la responsabilité à ce sujet. Les horribles, stupides et médiocres art moderne et contemporain, dans le domaine de la haute culture ; et avec eux, dans le domaine de l’académie, la très nocif « École de Frankfurt » et son heritage de neo-marxisme/marxisme culturel ; les pas moins nuisibles postmodernistes ; et toutes les courants que se sont développées depuis eux dans la vie académique et intellectuelle, ont beaucoup de responsabilité dans cet état des affaires.
En dépit du fait que cette situation est très mauvaise, Il serait bon de pouvoir dire que cette acceptation du marxisme et ses dérives est un phénomène nouveau, caractéristique d’une génération (les connus comment les « millénials ») éduquée avec un penchant vers la gauche dans un monde riche, sans grands conflits armés, et pendant le temps de le triomphe de ce que les critiques de gauche appellent le capitalisme sauvage. Mais on ne peut pas oublier que même après la publication de « Animal Farm » (1945) et « 1984 » (1949) par George Orwell, les intellectuels et les médias occidentaux avaient plus que excessives sympathies pour la Union Soviétique. Ce ne fut que jusqu’après la parution de « The Gulag Archipelago » (1973) par Alexander Solshenitzyn, que il fut possible critiquer l’URSS, ses dirigeants, et son système politique. Cependant, même après la acclamation mondial du Gulag Archipelago et le fameux discours du Solshenitzyn à Harvard (1978), dans lequel Il avertissait l’Occident des périls dérivés de son affaiblissement à cause de son succès économique et ses libertés politiques; l’orthodoxie parmi les intellectuels, artistes et éducateurs occidentaux dictait et a toujours dicté, quelquefois ouvertement, la plus des temps tacitement, l’allégeance à les principes sataniques du communisme comme condition pour être admis dans les “cadres” de l’intelligentsia.
Après le témoignage de Solshenitzyn et autres dissidents et survivants de l’archipel Gulag, c’était finalement possible de critiquer le communisme. C’est précisément merci à ces dénonciateurs qu’il est possible de considérer aujourd’hui l’histoire de l’Union Soviétique comme l’histoire d’un essai d’instauration du satanisme à la place de l’ordre politique régnant dans le monde. Pendant les premières années du XXIème siècle il a paru qu’il n’y eu plus de discussion concernant le rôle de la Russie comme le champ d’essai de la tyrannie à échelle mondial. Notre Dame, à Fátima nous a averti suffisamment et de façon très claire à ce sujet. Rappelez-vous qu’elle a prévenu la Église Catholique d’une infiltration globale du communisme.
Selon nôtre Dame à Fátima, une sorte de prise du pouvoir à la échelle global par le communiste aurait lieu grâce à une expansion mondial de ce qu’elle a appelé les erreurs de la Russie ; lesquels à présent, comme tous ceux qui ont les yeux ouverts et la conscience réveillée peuvent le témoigner, se sont diffusés à travers presque toutes les sociétés occidentales, à tous les niveaux et institutions, y compris l’Église Catholique. Ce processus d’infiltration dans l’église et dans la société a été décrit à maintes temps par dissidents ex-communistes comme Bella Dodd et Yuri Bezmenov. La vérité, c’est que la chute de l’Union Soviétique n’était pas la défaite finale du marxisme, mais un pas dans l’accomplissement de ses buts à l’échelle planétaire.
C’est ainsi parce que le communisme n’exploit les plus basses passions (l’envié, la haine) et la faiblesse (la peur) des individus et des groupes dépourvus de la vraie foi en Dieu, que comme une manière de diviser et déstabiliser les sociétés pour mieux renverser l’ordre à faveur d’une élite de membres du parti, ou d’une élite économique. Les membres de ces élites manipulatrices, dont leur vrais motifs restent la plupart du temps cachées derrière humanitarismes mensongères, seulement ont pour objectif réel asservir les masses sous la tyrannie émanant des principes collectivistes, afin de régner sadiquement sur elles sans contestation.
Aujourd’hui nous sommes dans le piège à nouveau. Les prophéties de Fátima paraissent être accomplis devant nôtres propres yeux. La dictature sanitaire que les élites ont établi depuis maintenant presque deux ans, avec comme prétexte une maladie provenant de la Chine, laquelle a moins de 1% de probabilités d’être fatal, nous a amené à un état d’servitude et soumission misérable. Des peuples entières, accoutumés à ses libertés et ses droits ont renoncé à tout ça sous la pression d’un panique sanitaire irrationnel ; et plusieurs pays, jusqu’à hier démocratiques et libres, y compris l’Autriche, l’Allemagne, le Canada, l’Australie, et même les États Unis ont, ou menacent avoir très bientôt, des vrais systèmes de punition et oppression, caractérisés pour la chasse aux dissidents et aux objecteurs de conscience, similaires à ceux qu’ont fait de la URSS un exemple de l’enfer sur terre.
Pour nous Catholiques, soldats dans l’armée de Notre Sainte et Immaculée Reine, Mère de notre Seigneur Jésus-Christ, il n’y a pas d’alternative que la résistance la plus ferme à l’encontre de cette dérive totalitaire. Nous ne pouvons pas nous conformer aux lois et politiques injustes établies à l’occasion de la pandémie “présumée comme mortelle à grande échelle”, laquelle n’est réellement qu’une pandémie de panique nourri par les médias au service du pouvoir. Prions, jeunons, et surtout, ne jouons pas le jeu de ceux qui ont tout préparé pour nous anéantir.
En conclusion, l’Union Soviétique a disparu politiquement bel et bien après le discours de Gorbachev il y a trente ans. Mais pendant cette période la Chine a pris son relai; et leur esprit à eux deux, le esprit du marxisme, qui est satanique est encore très vivant dans le mesures prises pour « endiguer » et « combattre » la maladie développée à la Chine, laquelle on ne peut pas critiquer si l’on veut que nos textes restent publies, sans subir aucune forme de censure, dans les plateformes des géants d’internet (Google, Facebook, Twitter). Comme jadis le firent les soviets les nouveaux maitres du Gulag mondialisé règnent à travers le mensonge et la terreur. Ils sont des parfaits fils du père du mensonge, tueur depuis le début. Ne les croyons pas à rien de ce qu’ils disent ou promettent. Au contraire, rappelons-nous que Dieu nous appelle nous battre sans peur ; et à la confiance dans son amour, sa miséricorde, et sa providence.
Rappelons-nous du psaume 27 :

